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  • Tri sélectif

    Dans le cadre de l’extension du service de tri, les personnes intéressées sont informées que des permanences d’information auront lieu en mairie, cours Sully, aujourd'hui mercredi 12 décembre de 13 h 30 à 16 h 30, le lundi 17 et le mardi 18 décembre (de 8 h à 12 h).

    Tri sélectif.pdf

     

  • Le tapis à Pois est de retour

    « Il était une fois un tapis volant qui se déplaçait de villages en villages, sur le territoire des Pyrénées Audoises… ». Ainsi est présentée l’extraordinaire aventure du lieu d’accueil Enfants Parents proposé par la CCPA.

    Lors de ses étapes, le tapis se déploie et un espace petite enfance prend vie. Deux accueillantes qui ne sont ni des fées ni des magiciennes, sont présentes à chaque fois pour accueillir les lutins de moins de quatre ans, ainsi que leurs parents, dans cet univers de jeux et de convivialité.

    tapis à pois,cc pyrénées audoises

    Les prochains atterrissages prévus auront lieu tous les mercredis à Quillan et tous les vendredis à Roquefeuil et à Chalabre, en matinée de 8 h 30 à 11 h 30 et ce jusqu’à fin juin (salles des centres de loisirs). « Le tapis à pois vous attend, afin de vivre heureux avec beaucoup d’enfants ». La participation à ce moment d’accueil reste gratuite et sans inscriptions, pour plus de renseignements, 06 84 01 68 59.

  • Pour l’association Vanille et Chocolat… le compte n’y est toujours pas !

    vanille et chocolat,cc pyrénées audoisesLa crédibilité de la médiation est remise en cause.

    Le 21 septembre 2017, la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises (CCPA) validait par un vote, la reprise en régie directe à compter du 1er janvier 2018, de la gestion de la crèche halte-garderie Vanille et chocolat de Chalabre, et la crèche multi-accueil Les petites bulles de Ste Colombe-sur-l'Hers. Depuis lors, le motif invoqué pour justifier cette prise de décision, - erreurs de gestion -, devait être réfuté, audit à l’appui, avant que la CCPA ne s’engage à rétablir la gestion des crèches par l’association. L’autre point de friction, que chacun pensait également réglé, porte sur le montant des subventions allouées, montants actés, aujourd’hui remis en cause. A l’écoute de ce qui s’apparente à un double langage, l’association Vanille et Chocolat et les parents, montent une fois encore au créneau, et manifestent leur exaspération :

    « Suite à la parution de l’article dans l’Indépendant du 14 avril, les parents, l’équipe pédagogique et le gestionnaire de l’association Vanille et Chocolat ont souhaité se réunir pour faire part de leur indignation face aux dires de M. Christian Maugard, vice-président de la Commission Solidarité au sein de la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises (CCPA).

    En effet, ce dernier soulève que « la proposition n’est pas réaliste », tout en pointant des « problèmes de gestion » et un « manque d’informations de la part des gestionnaires ». Christian Maugard, mandaté par M. Francis Savy, président de la CCPA, a pris en charge la médiation entre l’association et la CCPA.

    Or, à l’issue de la rencontre du 19 février dernier, avec les différents partenaires - CAF, expert comptable, commissaire aux comptes, élus du Kercorb (MM. Jean-Jacques Aulombard et Thierry Couteau) et les techniciens de la CCPA (Mme Karine Gonzalez) - et en présence de parents au titre d’observateurs -, il a été convenu que M. Christian Maugard transmette les éléments qui démontrent la nécessité du versement d’une subvention de 133 000 € pour le fonctionnement pérenne et serein de l’association, et donc des deux structures d’accueil de Chalabre et Ste Colombe-sur-l’Hers.

    A notre grand étonnement, lors de la parution de l’article du 14 avril, c’est tout le contraire qui a été donné.

    Nous sommes encore une fois mis devant le fait accompli, sans que soit prise en compte une gestion saine validée par un expert comptable et un commissaire aux comptes, sous le contrôle de la CAF et de la PMI.

    Nous nous interrogeons sur la crédibilité et la finalité de cette « médiation », mais aussi sur la réelle volonté de la CCPA de permettre à l’association de fonctionner normalement ».

  • Maison de santé : Lettre ouverte aux citoyens

    Jean-Jacques Aulombard, maire de Chalabre, en appelle à l’autorité de la ministre des solidarités et de la santé.

    maison de santé,cc pyrénées audoises,jean-jacques aulombardDepuis 2015, la rue du Pont-Vieux est prête à accueillir les professionnels de santé.

    En 2012, le comité régional de sélection et l’Agence régionale de santé (ARS), labellisaient le projet des professionnels de santé du pays chalabrais, conforme au cahier des charges des maisons de santé. A l’orée de l’année 2018, toujours rien, l’espace sur lequel ce projet devrait prendre forme, reste désespérément en friche.

    Sous la forme d’une lettre ouverte, Jean-Jacques Aulombard souhaite informer les citoyens d’une commune de 1100 habitants, chef-lieu de feu le canton de Chalabre.

    « Suite à un article des professionnels de santé du Kercorb (cf Indépendant samedi 23 décembre 2017), j’ai adressé un courrier à Madame la Ministre des solidarités et de la santé. Le rôle de la Communauté des communes des Pyrénées Audoises est de développer le territoire, et la construction d’une maison de santé est un préalable indispensable. La réalisation d’une maison de santé à Axat et à Espéraza est une très bonne chose, et on peut se poser des questions sur celle de Chalabre. Etant vice-président de la dite communauté de communes, j’interviens régulièrement pour connaître l’état d’avancement du dossier, et la réponse est toujours floue. L’art d’être Audois, comme le dit si bien monsieur le président du Département de l’Aude, est à juste titre empli de générosité, de bienveillance et de solidarité, qui fait de l’Aude un territoire unique et authentique, est bafoué.

    L’art de la Communauté des communes des Pyrénées Audoises est par contre ressenti aujourd’hui comme un mépris vis-à-vis de la population du Kercorb… Il est temps d’être bienveillant et solidaire, et de construire cette maison de santé pour le bien être de la population ».

    Une inertie intolérable     Il est peut-être utile de rappeler que la cité chalabroise abrite un Ehpad de 84 places, un service de soins infirmiers de 50 places, et une clinique de soins de suite et réadaptation de 64 lits. Face à cette inertie intolérable, et à l’attente des professionnels de santé et de la population, Jean-Jacques Aulombard conclut en ces termes le courrier adressé au ministère : « Je partage votre objectif d’implanter des maisons de santé pour prévenir la désertification médicale. La mise en œuvre d’un tel programme exige d’être réactif et efficace, et j’adhère totalement à cette démarche. Force est de constater, que la collectivité compétente pour créer une maison de santé dans la Haute-Vallée de l’Aude, ne partage apparemment pas votre point de vue, ni le mien ».